J'ai écris beaucoup trop, aujourd'hui.
C'est mon...quatrième message du jour ? Cinquième ?
Je sais, c'est bien que trop.
Mais je ne peux pas m'en empêcher.
Je ne veux pas embêter les autres avec mes tourments, ils en ont eu plus qu'assez, des jérémiades à propos de M'sieur B.
Et je comprends leur lassitude. Je suis moi-même lasse.
J'ai écris toute la journée. Écrire, effacer, recommencer. Toute-la-journée. Et je ne suis pas rassasiée. J'en voudrai encore plus, toujours plus.
Je me sens comme Requiem for a dream , je n'ai pas eu une assez grosse dose, mes pupilles se dilatent, j'expansionne, aidez-moi !
Je dépends de cet espace de mots, emplis de mes mots, de mon silence bruyant que j'étale ici comme sur la place publique sans que personne ne sache trop rien de mon malaise discret.
Je ne sais pas, si c'est sain, de me réfugier ainsi dans l'écriture. Je serai portée à dire que non, ce n'est pas sain du tout, que je devrais extérioriser tout...tout ça, mais que me reste-t-il à dire ?
Rien.
Tellement rien que ça me glace le sang.
Il n'y a plus rien à dire, rien à ajouter. Il semble que tout soit clair mais que le conte de fée ne finira pas comme celui de Cendrillon.
Parce que je n'ai rien d'une princesse. Les princesses ne sont pas vulgaires, ni déplacées, ni cynique.
Et les princes ne rotent pas leur bière de la veille en mangeant des chips dans leur salon.
C'est mon...quatrième message du jour ? Cinquième ?
Je sais, c'est bien que trop.
Mais je ne peux pas m'en empêcher.
Je ne veux pas embêter les autres avec mes tourments, ils en ont eu plus qu'assez, des jérémiades à propos de M'sieur B.
Et je comprends leur lassitude. Je suis moi-même lasse.
J'ai écris toute la journée. Écrire, effacer, recommencer. Toute-la-journée. Et je ne suis pas rassasiée. J'en voudrai encore plus, toujours plus.
Je me sens comme Requiem for a dream , je n'ai pas eu une assez grosse dose, mes pupilles se dilatent, j'expansionne, aidez-moi !
Je dépends de cet espace de mots, emplis de mes mots, de mon silence bruyant que j'étale ici comme sur la place publique sans que personne ne sache trop rien de mon malaise discret.
Je ne sais pas, si c'est sain, de me réfugier ainsi dans l'écriture. Je serai portée à dire que non, ce n'est pas sain du tout, que je devrais extérioriser tout...tout ça, mais que me reste-t-il à dire ?
Rien.
Tellement rien que ça me glace le sang.
Il n'y a plus rien à dire, rien à ajouter. Il semble que tout soit clair mais que le conte de fée ne finira pas comme celui de Cendrillon.
Parce que je n'ai rien d'une princesse. Les princesses ne sont pas vulgaires, ni déplacées, ni cynique.
Et les princes ne rotent pas leur bière de la veille en mangeant des chips dans leur salon.
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