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...Non pas sur M'sieur B.
Vous rêvez en couleur, mes chers amis !
Mais peut-être que la page qui se tournera ce soir aidera à tourner la suivante.
En effet, je viens tout juste de préparer ma lettre de démission :
Je quitte mon emploi !
Au lieu de vendre du poulet, je vendrai...des marteaux !
Un changement de domaine qui me plaît bien !
Je crois que j'ai besoin de ce changement. J'ai besoin de m'aérer l'esprit, d'aller voir ailleur si j'y suis !
Je n'ai plus envie d'aller travailler et de me sentir en corvée. Je n'ai plus envie que mes patrons me prennent pour ... de la merde, littéralement. Depuis presque un an, je travaille contre mes valeurs, contre mes convictions. Pardon, mais donner une FOUTUE salade de chou à un enfant avec son sachet de biscuits, ce n'est PAS du gaspillage ! Tu ne perdras pas ta compagnie parce que tu mets les DEUX au lieu de charger UN SAPRISTI DE DOLLAR DE PLUS pour qu'il mange sa MAUDITE salade de chou !
Ahlala...
Mais quitter mon emploi représente un autre point positif non-négligeable : je quitte aussi M'sieur B.
On se verra le jeudi et le vendredi dans les bars, et ce sera tout.
Et peut-être que comme ça, j'oublierai.
J'oublierai notre complicité et les regards échangés entre deux fourneaux, j'oublierai les sourires et les soupirs, que j'oublierai...j'oublierai.
Et peut-être que comme ça, j'échangerai des regards à la dérobé avec un autre commis, peut-être que je deviendrai complice du gars dans le sport, peut-être que je sourirai de nouveau, que je soupirerai au nom d'un autre, que je vivrai...je vivrai.
Il faut.
Vous rêvez en couleur, mes chers amis !
Mais peut-être que la page qui se tournera ce soir aidera à tourner la suivante.
En effet, je viens tout juste de préparer ma lettre de démission :
Je quitte mon emploi !
Au lieu de vendre du poulet, je vendrai...des marteaux !
Un changement de domaine qui me plaît bien !
Je crois que j'ai besoin de ce changement. J'ai besoin de m'aérer l'esprit, d'aller voir ailleur si j'y suis !
Je n'ai plus envie d'aller travailler et de me sentir en corvée. Je n'ai plus envie que mes patrons me prennent pour ... de la merde, littéralement. Depuis presque un an, je travaille contre mes valeurs, contre mes convictions. Pardon, mais donner une FOUTUE salade de chou à un enfant avec son sachet de biscuits, ce n'est PAS du gaspillage ! Tu ne perdras pas ta compagnie parce que tu mets les DEUX au lieu de charger UN SAPRISTI DE DOLLAR DE PLUS pour qu'il mange sa MAUDITE salade de chou !
Ahlala...
Mais quitter mon emploi représente un autre point positif non-négligeable : je quitte aussi M'sieur B.
On se verra le jeudi et le vendredi dans les bars, et ce sera tout.
Et peut-être que comme ça, j'oublierai.
J'oublierai notre complicité et les regards échangés entre deux fourneaux, j'oublierai les sourires et les soupirs, que j'oublierai...j'oublierai.
Et peut-être que comme ça, j'échangerai des regards à la dérobé avec un autre commis, peut-être que je deviendrai complice du gars dans le sport, peut-être que je sourirai de nouveau, que je soupirerai au nom d'un autre, que je vivrai...je vivrai.
Il faut.
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