Bla bla de toi
Dans le cadre d'un cours...
Tu n’es pas là, mais c’est tout comme si tu y étais. Il y a dans ton absence une présence qui comble le vide que tu laisses, quand tu pars.
Je te vois dans chaque regard que je porte, que je pose sur la vie. Dans mes doutes, tu es la certitude silencieuse qui me rassure. Dans mes certitudes, tu es l’accord tangible, la main sur l’épaule, l’approbation tant espérée qui vient enfin.
Je n’ai plus à me questionner, je sais que tu m’appuieras, même si parfois, tes convictions s’ébranlent. Je ne suis pas simple à comprendre, j’en suis consciente. Mais j’essaye de stopper le flot continuel de mes pensées…sans jamais y arriver.
C’est comme si mon cerveau bouillonnait. Nous parlons, et même trois, et même quatre heures plus tard, des bribes de notre conversation surgissent dans mon esprit. Ta voix chaude, ton rire si rare mais délicieux, qui coupe avec les traits graves, préoccupés de ton visage.
Ton soucis de bien faire ; mais pas de bien paraître. Ta minutie, presque chirurgicale, dans chacune de tes actions. J’imagine la précision avec laquelle tu caresses et enjôles, si elle ressemble un tant soi peu à laquelle tu t’adonnes quand tu brûles les planches d’une scène ; elle sera mémorable.
Je ne veux plus me questionner, ni sur toi, ni sur moi. Et surtout pas sur nous. Je ne sais pas s’il y en aura un, mais j’accepte d’ignorer la réponse à cette question que je repousse continuellement quand elle s’impose à moi d’elle-même.
Qu’arrivera-t-il ? Le sais-tu, toi ? Pourras-tu oublier que mon âge te gêne, que mon âge t’empêche de me livrer ta parfaite prose, ta verbe enflammée que je devine réservées à celle que tu aimes ?
M’aimeras-tu, malgré tout ?
M’aimeras-tu, en vers et contre tous ?
Je le confesse, je t’ai menti. Je ne cesse de me questionner. À toutes heures du jour, quand je me réveille la nuit. Je pense à toi, à moi, et surtout à ce nous si incertain qu’il ne prend vie que dans mes rêves, la nuit…
Tu n’es pas là, mais c’est tout comme si tu y étais. Il y a dans ton absence une présence qui comble le vide que tu laisses, quand tu pars.
Je te vois dans chaque regard que je porte, que je pose sur la vie. Dans mes doutes, tu es la certitude silencieuse qui me rassure. Dans mes certitudes, tu es l’accord tangible, la main sur l’épaule, l’approbation tant espérée qui vient enfin.
Je n’ai plus à me questionner, je sais que tu m’appuieras, même si parfois, tes convictions s’ébranlent. Je ne suis pas simple à comprendre, j’en suis consciente. Mais j’essaye de stopper le flot continuel de mes pensées…sans jamais y arriver.
C’est comme si mon cerveau bouillonnait. Nous parlons, et même trois, et même quatre heures plus tard, des bribes de notre conversation surgissent dans mon esprit. Ta voix chaude, ton rire si rare mais délicieux, qui coupe avec les traits graves, préoccupés de ton visage.
Ton soucis de bien faire ; mais pas de bien paraître. Ta minutie, presque chirurgicale, dans chacune de tes actions. J’imagine la précision avec laquelle tu caresses et enjôles, si elle ressemble un tant soi peu à laquelle tu t’adonnes quand tu brûles les planches d’une scène ; elle sera mémorable.
Je ne veux plus me questionner, ni sur toi, ni sur moi. Et surtout pas sur nous. Je ne sais pas s’il y en aura un, mais j’accepte d’ignorer la réponse à cette question que je repousse continuellement quand elle s’impose à moi d’elle-même.
Qu’arrivera-t-il ? Le sais-tu, toi ? Pourras-tu oublier que mon âge te gêne, que mon âge t’empêche de me livrer ta parfaite prose, ta verbe enflammée que je devine réservées à celle que tu aimes ?
M’aimeras-tu, malgré tout ?
M’aimeras-tu, en vers et contre tous ?
Je le confesse, je t’ai menti. Je ne cesse de me questionner. À toutes heures du jour, quand je me réveille la nuit. Je pense à toi, à moi, et surtout à ce nous si incertain qu’il ne prend vie que dans mes rêves, la nuit…
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