La boucle
Je parle à M'sieur Babe.
Pour la première fois depuis notre déchirure.
Et j'ai pas l'impression que ça sera facile de rapiécer ça, oh vraiment pas !
Et pour la première fois depuis que nous formions un nous , j'suis même pas certaine de le vouloir vraiment.
C'est comme si le fosset qui s'est creusé entre nous est trop profond, comme si nous étions réellement rendu ailleurs, plus les mêmes depuis ce soir la. Je regrette, vraiment. Il était mon complice, mon Hardy, mon complément.
Il n'est plus que l'ombre de lui même, et moi je ne suis plus la même. J'évolue, je nage, je patauge parfois mais j'avance ; M'sieur Babe est resté là où il était à notre rencontre, il a regressé, le courant l'a emporté loin de moi ...
Pourrais-je dire que la boucle est bouclée ?
Je ne sais pas, je n'en sais rien. Ce soir, je suis perdue. J'erre. Je tape sur mon clavier dans un état second, je pense à un milier de trucs sans importance, j'essaie de ne pas en venir à l'évidence, mais sauf fermer les yeux, je ne trouve plus d'autres options...
M'sieur B. Moi. Ses mots. Mes mots. Un coulis de rancoeur amère, de moments râtés, d'éternités écoulées.
Je t'aime, Babe. J'y peux rien. J't'aimerais sans doute toujours, mon p'tit Babe. Mon premier. Pas mon dernier, mais bon, parfois, j'ai l'impression qu'après t'avoir goûté, les autres seront sans saveur.
J'sais plus où je vais, j'sais plus où on ira, mais une chose est certaine, j'te suivrai plus les yeux fermés sans penser.
J'te suivrai les yeux grand ouvert, pour profiter au max de ce que la vie nous apportera, que ce soit nous deux main dans la main, ou nous deux côte à côte avec la main d'un autre.
Mais j'te suivrai,parce que sans toi, c'est comme s'il y avait un trou dans mon âme.
Pour la première fois depuis notre déchirure.
Et j'ai pas l'impression que ça sera facile de rapiécer ça, oh vraiment pas !
Et pour la première fois depuis que nous formions un nous , j'suis même pas certaine de le vouloir vraiment.
C'est comme si le fosset qui s'est creusé entre nous est trop profond, comme si nous étions réellement rendu ailleurs, plus les mêmes depuis ce soir la. Je regrette, vraiment. Il était mon complice, mon Hardy, mon complément.
Il n'est plus que l'ombre de lui même, et moi je ne suis plus la même. J'évolue, je nage, je patauge parfois mais j'avance ; M'sieur Babe est resté là où il était à notre rencontre, il a regressé, le courant l'a emporté loin de moi ...
Pourrais-je dire que la boucle est bouclée ?
Je ne sais pas, je n'en sais rien. Ce soir, je suis perdue. J'erre. Je tape sur mon clavier dans un état second, je pense à un milier de trucs sans importance, j'essaie de ne pas en venir à l'évidence, mais sauf fermer les yeux, je ne trouve plus d'autres options...
M'sieur B. Moi. Ses mots. Mes mots. Un coulis de rancoeur amère, de moments râtés, d'éternités écoulées.
Je t'aime, Babe. J'y peux rien. J't'aimerais sans doute toujours, mon p'tit Babe. Mon premier. Pas mon dernier, mais bon, parfois, j'ai l'impression qu'après t'avoir goûté, les autres seront sans saveur.
J'sais plus où je vais, j'sais plus où on ira, mais une chose est certaine, j'te suivrai plus les yeux fermés sans penser.
J'te suivrai les yeux grand ouvert, pour profiter au max de ce que la vie nous apportera, que ce soit nous deux main dans la main, ou nous deux côte à côte avec la main d'un autre.
Mais j'te suivrai,parce que sans toi, c'est comme s'il y avait un trou dans mon âme.
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